Le député de Viau, Frantz Benjamin, fait un don de 20 000 dollars à des organismes de son comté, une aide inscrite dans le cadre de la lutte à la fracture numérique et pour la réussite éducative des jeunes.

Cet appui financier  passe à travers la Table de concertation du quartier Vivre Saint-Michel en santé  qui regroupe,  entre autres, La Maison de la Famille de Saint-Michel, Carrefour Jeunesse-Emploi Centre-Nord, Centre Lasallien de Saint-Michel, ADMCN et le Sommet Jeunes Afro (SDJES).

«La réussite éducative des jeunes du quartier Saint-Michel est un des grands défis pour l’ensemble de la collectivité micheloise. À côté des établissements scolaires qui y travaillent au quotidien, la Table de concertation du quartier, Vivre Saint-Michel en Santé, très active dans ce dossier et plusieurs acteurs communautaires en ont fait une de leurs grandes priorités », a déclaré Frantz Benjamin.

Dans le cadre de cette annonce, une partie des montants viendra appuyer les efforts du SDJES dans la lutte contre la fracture numérique notamment en permettant l’accès aux équipements numériques et au réseau internet pour plus de 500 familles.

 « Cette contribution permettra de rejoindre un peu plus d’aînés et de familles et contribuera en même temps à l’amélioration des conditions de vie de plusieurs citoyennes et citoyens de ma circonscription, particulièrement dans ce contexte exceptionnel et difficile de la COVID19»,

a souligné le député de Viau.

Les projets appuyés dans le cadre de cette annonce permettront aux organismes porteurs de rejoindre un plus grand nombre de personnes tout en bonifiant la qualité de cette offre.

La réussite éducative d’un maximum de jeunes de la circonscription et l’employabilité des jeunes font partie des objectifs à atteindre pour l’amélioration de la qualité de vie dans notre milieu. 

Notons que la fracture numérique concerne les inégalités dans l’usage et l’accès aux technologies de l’information et de la communication (TIC) comme les téléphones portables, l’ordinateur ou le réseau Internet. La fracture numérique ne représente donc qu’une toute petite partie de l’ensemble des inégalités de développement.