Alors que les églises catholiques se transforment en condo, faute de fidèles, l’arrondissement de Montréal-Nord assiste actuellement à une sorte de prolifération des lieux de culte d’obédience protestante sur son territoire. Entre 2011 et 2013 l’ancienne administration avait recensé plus d’une soixantaine d’églises, en majorité haïtienne. « C’est la grande question que l’on se pose : combien de lieux de culte est-ce qu’on a aujourd’hui à Montréal-Nord?», se demande Christine Black, l’actuelle mairesse lors d’une entrevue au journal. « Il y a plus que 60 », affirme pour sa part le pasteur Serge Célestin qui préside le Conseil des leaders

Le Centre Jean Paul Lemay qui évolue, depuis 1995, dans le domaine de l'éducation populaire a organisé une journée porte ouverte lundi dernier afin d'aider les communautés haïtienne et nord-montréalaise de mieux connaître ses services. En effet, selon Roger Petit-Frère, son actuel directeur l'organisme qui aide plus d'un millier  de personnes par année à obtenir leur secondaire 5, est, à tort ,mal perçu. Jean Numa Goudou a pris part à l'activité porte ouverte. Son reportage [audio mp3="http://www.intexto.ca/wp-content/uploads/2018/08/JPL_topo_final.mp3"][/audio]

C’est ce qu’estime Me Alain Arseneault, l’avocat qui a défendu la jeune victime et sa famille, voilà 10 ans, face aux autorités et qui a fait en sorte qu’une enquête publique soit déclenchée autour de cette affaire. Il participait jeudi dernier à une cérémonie, haute en émotion, en vue de commémoration le décès du Nord-Montréalais tué le 9 août 2008 à la suite d’une intervention policière qui a mal tourné. En dépit d’un rapport du coroner Perreault assorti de recommandations majeures en ce qui a trait au profilage racial, notamment, l’homme de loi croit que l’essentiel n’a pas été fait

La 3e édition de la Journée de la cuisine haïtienne a lieu ce 17 août prochain au Buffet Renaissance 7550, boul. Henri-Bourassa, Est, à Montréal avec au moins six chefs cuisiniers haïtiens venant des États-Unis ou évoluant dans la grande région métropolitaine. Plus de 1500 personnes avaient assisté à la deuxième édition, l’an dernier. Et les organisateurs ont dû refuser des personnes à la porte faute d’espace. Pour cette année 2018, l’organisation de cette Journée consacrée à l’art culinaire haïtien dans tous ses aspects a réquisitionné une plus grande salle pour l’événement. Plus de six chefs cuisiniers seront présents. Parmi

Une cinquantaine de jeunes de Montréal-Nord participent depuis l’année dernière au programme de Travail alternatif payé à la journée (TAPAJ) relié au centre l’Escale des jeunes. Carrybee Raphaël, 19 ans, vit à Montréal Nord. En septembre  2017, il a intégré le Projet TAPAJ. Pour lui, il s’agissait d’une opportunité à ne pas rater. «Quand j’ai été approché par les responsables de TAPAJ, je me suis tout de suite dit: pourquoi pas? », se rappelle l’étudiant en Sciences humaines, niveau CEGEP. « J’ai beaucoup aimé l’expérience », affirme-t-il, avant de préciser les raisons qui l'ont poussé à prendre part à ce  programme

Au total, Santé Canada a saisi huit lotions et crèmes pour la peau, généralement utilisées par des personnes de race noire, non autorisées et qui était distribuées par Ayotai Canada en raison pour la santé des consommateurs. L'étiquette sur ces lotions indique la présence d'un médicament d'ordonnance (propionate de clobétasol ou dipropionate de bétaméthasone). Ces produits, qui comportent de graves risques pour la santé, étaient vendus par divers détaillants du Québec. Particulièrement les femmes enceintes ou qui allaitent pourraient subir de graves conséquence découlant de leur utilisation selon Santé Canada. De plus, selon Santé Canada, l’application de ces lotions sur